Davantage pour l’esprit combinatoire que pour l’effet de manche, combine s’intéresse au ressort de formes géométriques primaire et à la recherche de compositions géométriques et graphique fortement inspiré de la conférence de guillaume désanges «signs and wonders, théorie de l’art moderne / théorème de l’art maudit», éditée par le mac/val, collection chroniques muséale en 2009. Il est question dans cette retranscription éditée d’explorer le « potentiel illusionniste et magiques (…) de «signes récurrents» ou de symboles «archaïques». Dénué d’ornement et quelque part dans leur plus simple appareil, ces signes à la fois essentiels et abstraits sont, je le crois, le terreau d’un dialogue universel entre le regardeur et la chose regardée. Pourquoi ? Parce qu’ils soient lune, pic montagneux ou horizon, tous les joursce qui nous entoure nous les rappelle.